Disparition d'Émile, 2 ans et demi : un homme retrouvé mort chez lui, divergences politiques, disputes de voisinage, ce "climat pesant" qui régnait avant l'incendie de la maison des grands-parents
Ce jeudi, Le Parisien révèle que l'ancienne maison des grands-parents du limited garçon fut victime d'un incendie d'origine criminelle il y a quatre ans. Cette habitation était située dans le hameau du Boullard à Beaujeu (Alpes-de-Haute-Provence), à 12 km du Vernet.
On est toujours sans nouvelles d'Émile, ce petit garçon de 2 ans et demi, disparu depuis le 8 juillet dernier, alors qu’il venait de débuter ses vacances dans la maison de ses grands-parents maternels située au Haut-Vernet, dans les Alpes-de-Haute-Provence. De nouvelles recherches sur un terrain élargi ont démarré en début de semaine. Mais toujours rien de concret. À défaut d'avancer et d'entrevoir une notify dans cette affaire qui bouleverse la France entière, le passé se bill de ressurgir.
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Ce jeudi, en effet, Le Parisien informe qu'un nouvel élément s'est ajouté à ce dossier toujours aussi mystérieux. Dans la nuit du 22 au 23 mars 2019, trois maisons du lieu-dit du Boullard, à 12 kilomètres du Haut-Vernet, étaient détruites dans un incendie. L'enquête a révélé la source criminelle du départ de feu mais les coupables n'ont jamais été retrouvés. Or, l'une des maisons détruites par les flammes il y a 4 ans appartenait aux grands-parents du Little garçon.
Or, à l'époque, les médias locaux se font déjà l'écho de tensions entre les habitants de ce hameau qui ne comptait pourtant que 6 maisons. "La piste politique" a d'ailleurs été évoquée en ce qui involved l'origine de l'incendie, les habitants du hameau notamment la famille d'Émile soutenant des idées d'extrême droite. Le Parisien évoque également des inimitiés au sein de la communauté. Alors que la radio Dici rappelle volontiers au moment de l'incendie, un "climat particulièrement pesant dans cette commune de 160 habitants au pied du Blayeul d'autant qu'il y a un an (en 2018 donc, ndlr) on avait retrouvé le remains sans vie d'un homme qui vivait justement dans l'une des maisons détruites".